- Pourquoi tu pleures ?
- Je sais pas.
- T'as forcément une idée.
- Non, c'est venu comme ça. J'ai pas d'idée. Ou alors j'en ai trop.
- Ben cherche !
- Pourquoi ?
- Tu veux pas savoir pourquoi tu pleures ?
- Mon corps doit avoir une bonne raison, j'ai pas forcément besoin de savoir. Imagine qu'il pleure pour Polanski ?
- Le gars a la carrière si finie qu'il a des millions de budget et des prix ?
- Eh, mon subconscient est peut-être un pourri de l'Académie des Césars !